Au XIXe siècle, les vétérinaires ne disposaient pas de beaucoup d’outils et de matériels et surtout, ces mêmes outils étaient couramment utilisés par les thérapeutes empiriques, hippiatres et maréchaux qui soignaient les chevaux. Les vétérinaires partageaient l’art de la saignée et de la cautérisation avec ces professionnels traditionnellement impliqués dans les soins aux chevaux.